Il y a nécessité de desservir de façon homogène tous les territoires de l’Espace lémanique
Par les associations ALPrail et LEX 2050, partenaires et représentées par Antoine JAQUENOUD, Bernard LENSEL, Kevin TABOADA de la FUENTE et Alain MAYAUD
Après le RER de la Région parisienne, le premier réseau express régional qui fonctionne dans l’Hexagone est bien celui du Léman Express (ou LEX), qui a la caractéristique d’être franco-suisse et de mettre en relation des territoires qui n’avait auparavant qu’une faible interconnexion.
Le principe même d’un réseau express régional est d’être pertinent sur des territoires complémentaires, denses et moins denses, de fonctionner en boucle et de comporter des interfaces multimodales : le succès du RER parisien est évidemment dû à cette polyvalence, à la mise en complémentarité de réseaux urbains et péri-urbains, à l’établissement d’étoiles ferroviaires emblématiques comme la station Châtelet-Les Halles, La Défense ou la gare de Lyon ou celle de Massy, l’aéroport de Roissy.
Dans le même esprit, nos travaux sur le réseau actuel du LEX aboutissent à définir 5 étoiles ferroviaires structurantes à l’échelle du Grand Genève, réparties entre Suisse et France, soit, par ordre alphabétique Annemasse, Bellegarde/Valserhône, Genève/Cornavin, La Roche sur Foron et Nyon.
Le succès indéniable du réseau du LEX, avec plus de 80 000 voyageurs/jour au lieu des 50 000 voyageurs/jour escomptés et la nécessité d’établir des liaisons multimodales avec les territoires voisins du Grand Genève nous incitent à raisonner sur un espace plus large et sur des bouclages complets pour mieux drainer ces territoires.
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Un grand merci à tous les acteurs de cet article ainsi qu'à LEX 2050 pour notre partenariat de qualité et enrichissant.
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